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Read Ebook: Myths and Marvels of Astronomy by Proctor Richard A Richard Anthony

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Ebook has 435 lines and 118418 words, and 9 pages

REMY DE GOURMONT

La petite Ville Paysages

Tir? ? petit nombre, dont cent vingt exemplaires sont mis en vente.

Ex. N? 130

LA PETITE VILLE

LES COQUELICOTS

Depuis Paris jusqu'? la mer, au fond de la Normandie, le fleuve rouge des coquelicots vous accompagne. Il d?borde ?? et l? et s'?tend comme un lac sur les champs de bl?. On se demande si les cultivateurs ne vont pas r?colter autant de gerbes de coquelicots que de gerbes de bl?. Au moins ce sera tr?s m?l?. En certains champs, c'est m?me le rouge qui domine et l'emporte sur l'or. C'est ? croire que la fleurette a ?t? sem?e intentionnellement avec le grain. Non, car je ne pense pas que le charmant m?lange de la couleur des bl?s m?rissants et du coquelicot ait beaucoup de charme pour les paysans. Ils ne voient pas les choses comme nous, qui passons, et je crains que, pour eux, la fleur qui amuse notre oeil ne soit que de la mauvaise herbe. H?las! dans la nature, presque tout ce qui est joli, ?clatant ou doux, n'est que de la mauvaise herbe, et si rien n'est plus utile, rien n'est plus monotone et plus terne qu'un champ de betteraves. Nous n'avons gu?re de ces cultures du Midi ou de l'Orient aux belles couleurs et m?me dans le Midi les champs orgueilleux de garance ont disparu. Autrefois, la Normandie ne se fleurissait pas seulement des pavots, mais du lin bleu de ciel et du sarrasin tout blanc, cher aux abeilles. Le lin a presque disparu. C'est dommage pour l'oeil; car c'?tait une f?te que ces champs d'azur, et le sarrasin devient plus rare. Il reste en ?t? le coquelicot, et au printemps le bleuet, plus timide et assez vite ?touff? par la v?g?tation des c?r?ales. Aussi je souhaite que la petite graine noire, qui ressemble ? des grains de poudre, continue de se m?ler follement au bl? et ? prosp?rer. Au fond cela ne lui fait pas grand mal et c'est une parure.

LA GARE

Je ne sais quel ?tait autrefois le centre de la petite ville, le centre social, ni s'il y en avait un; aujourd'hui, c'est la gare, bien qu'elle soit assez loin et que cela soit une corv?e d'en remonter vers la haute ville. On y va en promenade, on s'y rencontre, les diverses classes s'y m?lent, c'est un endroit neutre et presque le seul lieu de divertissement. C'est par l? qu'arrivent les journaux et le peu de litt?rature dont la ville a besoin, et ni les feuilles ni les livres ne remontent dans l'ancienne petite cit?. On va les chercher ? la gare. La biblioth?que de la gare a tu? les autres libraires. Il y en avait trois autrefois: une librairie g?n?rale, o? on trouvait toutes les nouveaut?s, avec un fonds assez solide de classiques anciens et modernes; une librairie pieuse o? se d?bitait la litt?rature ?difiante ou mod?r?e; enfin une bouquinerie, o? je me souviens d'avoir achet? mes premiers livres curieux. Seule, la librairie pieuse subsiste, mais on y vend peut-?tre plus de chapelets et d'eucologes que d'ouvrages acad?miques. La petite ville est dans une profonde d?cadence intellectuelle. On s'y int?resse de moins en moins aux questions stables et c'est la gare qui lui fournit la litt?rature passag?re. Il y a d'autres causes ? cette d?ch?ance qui est g?n?rale dans les petites villes de province, mais je ne veux noter ici que les observations ext?rieures. Bien que la ville n'ait tous les jours aucun commerce apparent, la gare est assez anim?e. C'est le seul organe par o? elle remue et manifeste quelque vie. Il est curieux qu'on ne rencontre presque personne dans ses rues et qu'on en rencontre beaucoup ? la gare. C'est que c'est un point de concentration: la petite ville ne retrouve que hors d'elle-m?me des motifs d'activit?.

LE PETIT CHEMIN DE FER

Il d?vale de la gare, passe entre les jambes du viaduc et s'en va en titubant du c?t? de la mer. Il ne va pas vite et il souffle beaucoup, quoique tout jeune. D'abord, il longe un vieux canal o? il pousse maints roseaux et o? fleurissent ? foison les reines des pr?s. Autrefois, ce canal charriait les charbons de Hull et les sapins de Norv?ge vers la ville qui en ?tait fi?re, mais on se lasse de tout. Cependant le petit chemin de fer divague maintenant parmi les campagnes et s'enfonce r?solument ? travers les avoines, les coquelicots et les pommes de terre. Voici les sables, voici la mer. Des gens descendent et gagnent la petite plage o? les vagues d?ferlent aux sons du piano. Deux hommes se baignent, un enfant joue avec un chien, deux dames se prom?nent. <> Cependant le petit chemin de fer a eu le temps de faire un tour vers des r?gions plus lointaines. Il revient. On le voit traverser les dunes comme une grosse chenille noire, il s'arr?te et nous repartons vers la vieille petite ville tass?e sur son rocher autour de ses ?glises. On y est moins isol?, depuis que l'on sent la mer si pr?s de soi, gr?ce au petit chemin de fer. La mer est une compagne qui ne vous lasse jamais, et quoique sa voix soit monotone, on y trouve une diversit? singuli?re. Elle se plie si bien ? la qualit? de la r?verie, elle se fait si bien plaisante ou triste selon les mouvements de votre ?me! Malgr? leurs chalets suisses, leurs casinos et leur musique ridicule, les hommes n'ont pu encore en d?truire le charme. La mer est invincible. C'est pourquoi il faut b?nir les petits et les grands chemins de fer qui nous permettent d'aller ? elle directement, nous jeter, d'un bond, dans ses bras.

LA CATH?DRALE

La cath?drale domine, ?crase, d?vore la petite ville nich?e ? ses pieds et qui semble en d?couler comme une source de pierre. Cet amas harmonieux de sculptures, de fl?ches, de d?mes, de porches, n'a pas suffi ? rassasier l'activit? constructive des si?cles qui pr?c?d?rent la Renaissance et dont le nom ici ne se comprend plus, car ce fut une mort et non un renouveau: deux autres ?glises, encore vastes et belles s'?lev?rent ? ses c?t?s et plus loin dans les campagnes, au bord des rivi?res, ? la lisi?re des landes, des abbayes surgissaient riches et fleuries, et l'on se demande comment purent ?tre con?ues et cr??es, en un temps assez bref, tant de prodigieuses architectures. Il y a une telle disproportion entre les ressources artistiques actuelles du pays et les anciennes r?alisations! Aujourd'hui, non seulement il ne pourrait achever ces merveilles, mais ? peine pourrait-il en avoir l'id?e et il serait m?me embarrass? pour les maintenir en bon ?tat. Il faut que cela soit un gouvernement sans religion qui veille sur l'int?grit? de ces monuments religieux. Abandonn?s aux mains des fid?les, ils seraient depuis longtemps de belles ruines. La foi qui les construisit n'a plus assez de force pour les soutenir. Ceux-m?me qui les admirent sont devenus incapables d'une admiration active et ceux qui y prient ne voudraient pas se priver d'un d?jeuner pour contribuer ? la r?fection d'une seule de ces pierres sculpt?es. Ils sauraient pleurer, ils ne sauraient faire que cela. Dans le petit po?me qui raconte la construction de la cath?drale de Chartres, on voit la population tout enti?re travailler mat?riellement au charroi et ? la pose des mat?riaux. Elle est, et toutes les autres, le fruit de l'?lan de tout le peuple qui voulait, qui savait vouloir. Les catholiques d'aujourd'hui ne sont m?me plus capables de nourrir leur clerg? et de lui acheter des surplis.

LE COLIMA?ON

MUS?ES

M. Uzanne appelait l'autre jour les mus?es des <>, et cela m'a sembl? bien pr?s de la v?rit?, sinon la v?rit? m?me. Il n'est pas douteux que les mus?es, r?pandus maintenant partout, ont d?velopp? outre mesure cette manie de l'imitation, qui est presque tout le g?nie humain. Mais il est des mus?es innocents, ceux des petites villes. La petite ville a son mus?e. C'est, ? l'entr?e du jardin des plantes, une vieille maison du dix-huiti?me si?cle, dont une moiti? est pleine de mauvaise peinture et dont le reste abrite des plantes d?licates. Du dehors, on ne sait o? commence la peinture, car la fa?ade est tapiss?e par une magnifique glycine qui m?le ses grappes violettes aux fleurs charnelles d'un rosier grimpant. Rien n'est plus charmant que ces roses qui pendent de toutes parts et s'effeuillent en pluie odorante, cependant que se gonfle de l'autre c?t? de la cour un ?norme massif de cam?lias qui proclame la douceur un peu humide du climat. Avant que les roses ne soient ouvertes, les rouges cam?lias d?corent ? merveille la sombre verdure. Quelle opulente entr?e de mus?e! Il n'en est pas peut-?tre derri?re laquelle on r?ve un art plus d?licat, plus intime, plus provincial, plus traditionnel, mais il en est bien peu qui m?nent vers un tel n?ant! Mus?e, pourquoi faire? Est-ce que toute la ville n'est pas un mus?e vivant, avec ses ?glises aux pierres sculpt?es, ses vieilles rues d?sertes, ses vieux h?tels resserr?s entre ses vieux jardins? Un mus?e sp?cial, quelle d?rision! Comme une fausse notion de l'art a d?form? les esprits! Mais ce mus?e du moins a ce m?rite de ne pousser ni ? la copie, ni ? l'imitation. Plus heureux que le Louvre, il ne contient aucun chevalet et on n'y a jamais vu deux fois le m?me visiteur. Il n'est coupable d'aucune fausse vocation. Il jette m?me un certain ridicule sur l'art et sur les artistes. Mais il enchante le promeneur solitaire. C'est un mus?e innocent.

LE LYC?E

Il n'est pas douteux que, dans la plupart des petites villes de cette r?gion, o? d'ailleurs il n'y en a pas de grandes, l'Universit? ne soit en profonde d?cadence. Non pas que le corps des professeurs ait diminu? de valeur, mais ce sont les ?l?ves qui ont diminu? en nombre. Ici, le lyc?e, o? il y eut, de mon temps, jusqu'? trois cents ?l?ves internes, n'en compte plus gu?re qu'une soixantaine. Cependant, la population ?coli?re est abondante dans la r?gion. On n'?migre vers Paris qu'apr?s les ?tudes faites. Les hommes sont moins nombreux, mais les enfants et les adolescents pullulent, les familles y ?tant toujours fort f?condes. O? donc toute cette jeune population fait-elle son ?ducation? Dans les ?tablissements eccl?siastiques qui, jadis assez d?daign?s, ont retrouv? depuis quelques ann?es une belle client?le. Je n'en rechercherai pas les causes, je constate le fait, qui est patent; l'enseignement de l'Etat subit en province une crise dont il se rel?vera difficilement. C'est en vain que toutes sortes d'am?liorations y ont ?t? apport?es. Sans les boursiers que l'administration envoie de tous c?t?s, le lyc?e serait presque vide; le personnel est sans proportion avec la population scolaire, les b?timents de l'internat s'y font de plus en plus d?serts; on dirait qu'une ?pid?mie a pass? par l?. Ce n'est pas que les habitants soient devenus plus r?actionnaires, plus cl?ricaux, mais il semble que les m?thodes universitaires leur plaisent de moins en moins. S'il y a eu campagne contre l'Universit?, nulle part elle n'a mieux r?ussi. Pourtant, la petite ville est encore un centre d'?tudes, mais surtout primaires et f?minines. Il y a un lyc?e o? on fait des cours pour les jeunes filles, mais ce gain compense assez mal la d?sertion du grand lyc?e, o? l'on formait les hommes.

LE CIRQUE

LES RUINES

LE MARCH?

UNE VIEILLE ABBAYE

LE SAVANT DE PROVINCE

C'est un homme consid?rable dans sa petite ville et souvent un homme qui ferait bonne figure dans les milieux parisiens. Tout ce qui concerne sa province, ou du moins sa r?gion, lui est familier, histoire, arch?ologie, biographie, g?n?alogie. Il d?chiffre les chartes anciennes, conna?t les fastes de chaque famille et sait ce que raconte chaque pierre des vieux monuments. Il est pr?cieux d'?tre son ami quand on s?journe ou seulement quand on passe dans le pays. Les choses lui parlent et il traduit leurs paroles en des discours passionn?s. S'il est un peu partial, c'est qu'? force d'?tudier les choses de son petit pays, il a ?t? naturellement amen? ? leur attribuer une grande importance. Il conna?t l'origine lointaine des institutions locales et des coutumes. Il sait ? qui appartenait une seigneurie avant la guerre de Cent Ans et en quelles mains elle passa sous la domination anglaise. Ses recherches g?n?alogiques ne sont pas du go?t de tout le monde, parce qu'il d?voile avec s?v?rit? les myst?res de la transmission des propri?t?s et qu'il sait que telle fortune a eu des d?buts frauduleux, que tel titre de noblesse est purement fantaisiste. Vivant ? l'?cart des partis, connaissant mieux le maniement des archives que celui des intrigues, il ne sollicite nulle faveur et n'en re?oit aucune. Sa maison, son jardin, ses livres et ses savantes recherches emplissent sa vie. Sa parole fait autorit? dans la discussion historique et, quoique traditionnaliste par instinct historique, il ne la m?le pas aux querelles locales, ce qui le fait un peu m?priser par les ambitieux. Il s'en console, car la science historique lui suffit, et les comp?titions politiques ne le tentent pas. Il conna?t trop les dessous de l'histoire pour ?tre tent? de s'y m?ler.

LES PETITS SUJETS

RITES FUN?RAIRES

Au retour, le hasard m'a fait d?couvrir, dans la banlieue d'une cit? quasi maritime, un extraordinaire cimeti?re. D'abord, en entrant, des deux c?t?s de la grande all?e, ce ne sont que des tombes d'enfants; on dirait que la population de ce faubourg ne meurt pas, mais qu'elle d?verse l? une prog?niture innombrable. Ensuite, ces tombeaux minuscules sont ainsi ordonn?s par les inconsolables parents: figurez-vous une sorte d'armoire en bois d?coup? dont trois panneaux sont vitr?s, une vitrine ?conomique dans laquelle sont entass?es, sur des ?tag?res en forme d'autel, des figurines en porcelaine peinte, repr?sentant des enfants au berceau, des anges, des saints, des bonnes Vierges, des fleurs, une quantit? de bibelots. Au milieu de tout cela pend ? un fil de fer un angelot, partout le m?me, la cuisse ceinte d'un brassard rose et qui sourit. Sur le devant de la vitrine, il y a g?n?ralement la photographie du gosse en grande toilette et dans le fond, si c'?tait une fillette, sa poup?e. La profusion des bibelots de tout genre est incroyable et quelques-uns sont inattendus, ainsi, par exemple, une bo?te oblongue ? poudre dentifrice! Les angelots suspendus dans l'armoire repr?sentent certainement l'?me en route vers le ciel; les bibelots rec?lent des intentions pieuses, quoique ?nigmatiques, et leur profusion atteste probablement la g?n?rosit? des parents. Au reste, la plupart de ces monuments sont dans un ?tat de v?tust? absolu et quelques-uns commencent ? tomber en poussi?re, laissant ?parses les petites figurines. L'?me sur le chemin du ciel est retomb?e sur la terre, o? l'a laiss?e choir l'oubli. On dirait, en somme, le cimeti?re d'une tribu barbare, ayant quelques notions de c?ramique et de menuiserie.

AU PAYS DE FLAUBERT

Pour la premi?re fois, depuis que je passe en bateau devant le village de Croisset, j'ai vu un passager se souvenir qu'un homme, nomm? Gustave Flaubert, v?cut l?. En voyant le pavillon, les tilleuls, restes d'un jardin, quelqu'un s'est ?cri? pr?s de moi: <> Mais c'?tait un enfant d'une douzaine d'ann?es qui s'adressait ? sa m?re. La m?re a fait r?p?ter le mot et, ne comprenant pas, a pris tout de m?me un air scandalis?. Cette all?e de tilleuls, o? Flaubert essayait ? haute voix la cadence de ses phrases, semble bien avoir ?t? plant?e depuis la mort de l'?crivain, mais son verbe l?gendaire ne continue pas moins d'y retentir entre la Seine et les collines de Canteleu. La Seine! Qu'elle a chang? sur cette rive et sur l'autre! Les quais de Rouen, qui s'avancent comme un long serpent de pierre, sont en train d'atteindre Croisset, comme, de l'autre bord, le bruyant Quevilly. Flaubert aurait beau <> maintenant les lamentations de saint Antoine, on ne l'entendrait plus, il ne s'entendrait plus lui-m?me. Le ronronnement de la papeterie de Croisset, le vacarme des marteaux de Quevilly couvriraient sa voix. Il n'y a pas bien des ann?es, ce coin de terre ?tait encore paisible comme une th?ba?de et la Seine coulait l? dans un silence de Nil. De grands vapeurs o? s'entassent les for?ts de Norv?ge et de noirs p?troliers jettent l'ancre devant le pavillon, o? r?gnait la solitude et d'o? montait la m?ditation. C'est bien ainsi. Ce contraste ne laisse pas que d'?tre saisissant entre le souvenir d'une pens?e qui ne pourrait plus vivre l? et le spectacle d'une activit? d'o? s'?l?vera peut-?tre quelque jour une autre pens?e ?galement riche et f?conde.

PAYSAGES

MUSIQUE DES SAISONS

Let us return, however, to the more reasonable astrology of the ancients, and enquire into some of the traditions which Bacon considered worthy of attention in framing the precepts of a sound and just astrology.

The celestial sphere placed as at the moment of the native's birth was divided into twelve parts by great circles supposed to pass through the point overhead, and its opposite, the point vertically beneath the feet. These twelve divisions were called 'houses.'

Their position is illustrated in the following figure, taken from Rapha?l's Astrology.

The first, called the Ascendant House, was the portion rising above the horizon at the east. It was regarded as the House of Life, the planets located therein at the moment of birth having most potent influence on the life and destiny of the native. Such planets were said to rule the ascendant, being in the ascending house; and it is from this usage that our familiar expression that such and such an influence is 'in the ascendant' is derived. The next house was the House of Riches, and was one-third of the way from the east below the horizon towards the place of the sun at midnight. The third was the House of Kindred, short journeys, letters, messages, etc. It was two-thirds of the way towards the place of the midnight sun. The fourth was the House of Parents, and was the house which the sun reached at midnight. The fifth was the House of Children and Women, also of all sorts of amusements, theatres, banquets, and merry-making. The sixth was the House of Sickness. The seventh was the House of Love and Marriage. These three houses followed in order from the fourth, so as to correspond to the part of the sun's path below the horizon, between his place at midnight and his place when descending in the west. The seventh, opposite to the first, was the Descendant. The eighth house was the first house above the horizon, lying to the west, and was the House of Death. The ninth house, next to the mid-heaven on the west, was the House of Religion, science, learning, books, and long voyages. The tenth, which was in the mid-heaven, or region occupied by the sun at midday, was the House of Honour, denoting credit, renown, profession or calling, trade, preferment, etc. The eleventh house, next to the mid-heaven on the east, was the House of Friends. Lastly, the twelfth house was the House of Enemies.

The more particular significations of the various houses are shown in the accompanying figure from the same book.

It will be easily understood how these houses were dealt with in erecting a scheme of nativity. The position of the planets at the moment of the native's birth, in the several houses, determined his fortunes with regard to the various matters associated with these houses. Thus planets of good influence in the native's ascendant, or first house, signified generally a prosperous life; but if at the same epoch a planet of malefic influence was in the seventh house, then the native, though on the whole prosperous, would be unfortunate in marriage. A good planet in the tenth house signified good fortune and honour in office or business, and generally a prosperous career as distinguished from a happy life; but evil planets in the ninth house would suggest to the native caution in undertaking long voyages, or entering upon religious or scientific controversies.

Similar considerations applied to questions relating to horary astronomy, in which the position of the planets in the various houses at some epoch guided the astrologer's opinion as to the fortune of that hour, either in the life of a man or the career of a State. In such inquiries, however, not only the position of the planets, etc., at the time had to be considered, but also the original horoscope of the person, or the special planets and signs associated with particular States. Thus if Jupiter, the most fortunate of all the planets, was in the ascendant, or in the House of Honour, at the time of the native's birth, and at some epoch this planet was ill-aspected or afflicted by other planets potent for evil in the native's horoscope, then that epoch would be a threatening one in the native's career.

The sign Gemini was regarded by astrologers as especially associated with the fortunes of London, and accordingly they tell us that the great fire of London, the plague, the building of London Bridge, and other events interesting to London, all occurred when this sign was in the ascendant, or when special planets were in this sign.

The signs of the zodiac in the various houses were in the first place to be noted, because not only had these signs special powers in special houses, but the effects of the planets in particular houses varied according to the signs in which the planets were situated. If we were to follow the description given by the astrologers themselves, not much insight would be thrown upon the meaning of the zodiacal signs. For instance, astrologers say that Aries is a vernal, dry, fiery, masculine, cardinal, equinoctial, diurnal, movable, commanding, eastern, choleric, violent, and quadrupedalian sign. We may, however, infer generally from their accounts the influences which they assigned to the zodiacal signs.

Aries is the house and joy of Mars, signifies a dry constitution, long face and neck, thick shoulders, swarthy complexion, and a hasty, passionate temper. It governs the head and face, and all diseases relating thereto. It reigns over England, France, Switzerland, Germany, Denmark, Lesser Poland, Syria, Naples, Capua, Verona, etc. It is a masculine sign, and is regarded as fortunate.

Taurus gives to the native born under his auspices a stout athletic frame, broad bull-like forehead, dark curly hair, short neck, and so forth, and a dull apathetic temper, exceedingly cruel and malicious if once aroused. It governs the neck and throat, and reigns over Ireland, Great Poland, part of Russia, Holland, Persia, Asia Minor, the Archipelago, Mantua, Leipsic, etc. It is a feminine sign, and unfortunate.

Gemini is the house of Mercury. The native of Gemini will have a sanguine complexion and tall, straight figure, dark eyes quick and piercing, brown hair, active ways, and will be of exceedingly ingenious intellect. It governs the arms and shoulders, and rules over the south-west parts of England, America, Flanders, Lombardy, Sardinia, Armenia, Lower Egypt, London, Versailles, Brabant, etc. It is a masculine sign, and fortunate.

Cancer is the house of the Moon and exaltation of Jupiter, and its native will be of fair but pale complexion, round face, grey or mild blue eyes, weak voice, the upper part of the body large, slender arms, small feet, and an effeminate constitution. It governs the breast and the stomach, and reigns over Scotland, Holland, Zealand, Burgundy, Africa, Algiers, Tunis, Tripoli, Constantinople, New York, etc. It is a feminine sign, and unfortunate.

The native born under Leo will be of large body, broad shoulders, austere countenance, with dark eyes and tawny hair, strong voice, and leonine character, resolute and ambitious, but generous, free, and courteous. Leo governs the heart and back, and reigns over Italy, Bohemia, France, Sicily, Rome, Bristol, Bath, Taunton, Philadelphia, etc. It is a masculine sign, and fortunate.

Virgo is the joy of Mercury. Its natives are of moderate stature, seldom handsome, slender but compact, thrifty and ingenious. It governs the abdomen, and reigns over Turkey both in Europe and Asia, Greece, and Mesopotamia, Crete, Jerusalem, Paris, Lyons, etc. It is a feminine sign, and generally unfortunate.

Libra is the house of Venus. The natives of Libra are tall and well made, elegant in person, round-faced and ruddy, but plain-featured and 'inclined to eruptions that disfigure the face when old; they' 'are of sweet disposition, just and upright in dealing.' It governs the lumbar regions, and reigns over Austria, Alsace, Savoy, Portugal, Livonia, India, Ethiopia, Lisbon, Vienna, Frankfort, Antwerp, Charleston, etc. It is a masculine sign, and fortunate.

Scorpio is, like Aries, the house of Mars, 'and also his joy.' Its natives are strong, corpulent, and robust, with large bones, 'dark curly hair and eyes' , middle stature, dusky complexion, active bodies; they are usually reserved in speech. It governs the region of the groin, and reigns over Judaea, Mauritania, Catalonia, Norway, West Silesia, Upper Batavia, Barbary, Morocco, Valentia, Messina, etc. It is feminine, and unfortunate.

Sagittarius is the house and joy of Jupiter. Its natives are well formed and tall, ruddy, handsome, and jovial, with fine clear eyes, chestnut hair, and oval fleshy face. They are 'generally jolly fellows at either bin or board,' active, intrepid, generous, and obliging. It governs the legs and thighs, and reigns over Arabia Felix, Spain, Hungary, Moravia, Liguria, Narbonne, Cologne, Avignon, etc. It is masculine, and of course fortunate.

Capricorn is the house of Saturn and exaltation of Mars. This sign gives to its natives a dry constitution and slender make, with a long thin visage, thin beard , dark hair, long neck, narrow chin, and weak knees. It governs, nevertheless, the knees and hams, and reigns over India, Macedonia, Thrace and Greece, Mexico, Saxony, Wilna, Mecklenburgh, Brandenburg, and Oxford. It is feminine, and unfortunate.

Aquarius also is the house of Saturn. Its natives are robust, steady, strong, healthy, and of middle stature; delicate complexion, clear but not pale, sandy hair, hazel eyes, and generally an honest disposition. It governs the legs and ankles, and reigns over Arabia, Petraea, Tartary, Russia, Denmark, Lower Sweden, Westphalia, Hamburg, and Bremen. It is masculine, and fortunate.

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